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 Juliet ► Donc tu admets que croire au mariage serait comme croire au père noël ? - Terminé

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Juliet ► Donc tu admets que croire au mariage serait comme croire au père noël ? - Terminé Empty
MessageSujet: Juliet ► Donc tu admets que croire au mariage serait comme croire au père noël ? - Terminé   Juliet ► Donc tu admets que croire au mariage serait comme croire au père noël ? - Terminé EmptyMer 13 Juin - 21:41

BEATRIZ JULIET CAPLAN

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30 seconds to mars - the kill






NOM COMPLET Caplan PRÉNOMS Béatriz JulietAGE Vingt-trois ans DATE DE NAISSANCE EXACTE 11 Mai 1989 LIEU DE NAISSANCE New Jersey, Etats-UnisNATIONALITÉ ET ORIGINES Américaine et américaines.STATUT Célibataire OCCUPATION Journaliste, envisage d'être un livre.ORIENTATION SEXUELLE Homosexuelle GROUPE losing control of myself AVATAR Dianna Agron

✎ CARACTÈRE
Discrète △ Sensible △ Introverti △ Calme △ Souriante △ Timide △ Bavarde, une fois à l'aise seulement △ Aimable △ Charismatique △ Travailleuse △ Déterminée △ Généreuse △ Influençable △ Naïve △ Secrète △ Douce △ Attentionnée △ Protectrice △ Câline △ Maladroite △ Amusante malgré elle △ Bordélique △ Jalouse △ Possessive △ Impulsive △ Intelligente △ Curieuse △ Observatrice △ Complexée.
✎ PARTICULARITÉS
Elle parle quatre langues, l'anglais/américain, le français, l'italien ainsi que l'espagnol. Simplement parce qu'elle aime se sentir cultivée. △ Elle a peur de monté dans un ascenseur ainsi que dans un avion. Elle est claustrophobe aussi et a n'aime pas les pièces où il y a trop de gens, elle sente vite étouffée. △ Elle a un physique plutôt avantageux mais, on ne peut pas dire qu'elle s'en serve vraiment puisqu'elle n'en a pas conscience. △ Elle ne supporte pas la fumée. △ Elle joue du piano et de la guitare. △


Douze ans, New Jersey.

Chère journal,

Aujourd'hui, je l'ai vu. Tu veux que je te raconte ? De toute manière, je vais te raconté, c'est à ça que tu sers, non ? T'es un journal intime, c'est juste moi qui me parle à moi-même mais, j'dis que c'est un journal intime parce que sinon, c'est autant dire que je suis psycho, hein. Enfin voilà. C'était cette après-midi, j'étais partie chez un DVD à regarder avec Louise, tu sais, ma meilleure amie. Enfin bref, Louise était partie voir si le CD d'un nouveau groupe dans l'autre rayon, en plus, ce groupe est vraiment nul mais, elle est a fond dedans. Je regardais les films d'horreurs puis, soudainement j'ai vu une silhouette. Elle se tenait juste à coté de moi, j'ai ressentit d'étranges picotements dans le ventre et j'ai rougit quand ma main à effleuré la sienne. Je n'ai rien compris parce que je n'ai ressentit ça et c'est pas la première fois que ça me prend avec elle de plus. La fille qui ne prête pas attention à moi, quand à rien fiche mais, qui aime tout de même me torturée de temps en temps quand ces souffres-douleurs ne sont pas là pour l'a distraire. Le plus étrange, c'est qu'elle m'a sourit. Et Dieu que son sourire est magnifique, ce n'était qu'un petit sourire en coin mais, mon cœur a fait des bons et je n'ai pas pu m'empêcher de lui répondre, timidement. Ces quelques secondes m'ont parût tellement longues, mon cœur battait tellement fort contre ma poitrine, je ne ressens jamais ça. Suis-je normale ? Mais ce n'est pas finit, tu sais quoi, elle m'a parlée. Rien de très spéciale à vrai dire mais, c'est l'une des premières fois où elle m'adresse la parole quand même. Je ferais une croix dans le calendrier tout à l'heure. « Tu devrais prendre celui-là, il fait vraiment peur. » Elle m'a pointé le film du doigt et j'ai tourné la tête, l'attrapant pour lire le résumé et quand je me suis retournée pour l'a remercié, elle était partie et je l'ai aperçu avec son petit copain, Jimmy. Elle lui tenait la main et je me suis envieuse, j'aurais voulu être à la place de Jimmy. Ce n'est pas la première que je me sens attirée par une fille, tu sais, enfin, pas vraiment. J'ai déjà trouvé des filles très belle et j'ai embrassé plusieurs fois Louise mais, je n'ai ressentit ça . Comme de l'amour...

Quatorze ans, New Jersey.

Chère journal,
Je ne me sens pas bien. En ce moment, elle a commencée à me défendre et à se montré plutôt jalouse. Elle est à la fois distante quand elle est avec ces amis et ensuite, elle cherche toujours un prétexte pour me parler, limite même si il faut qu'elle m'agresse pour me parler. J'ai du mal à l'a cerné. Il faut que je t'explique sinon, tu ne peux pas comprendre parce que moi-même, je ne comprends pas. Peut être qu'une mise au point à travers ces lignes m'aidera. Je suis arrivée ce matin en cours comme tous les jours avec Louise, on ne peut pas dire que ça s'annonçait palpitant puisqu'on allait en Arts plastiques. L'avantage au moins, c'est que le professeur ne dit jamais rien, il nous laisse faire tout ce qu'on veut et c'est un peu comme si on était en récrée, enfin, ça tu le sais déjà puisque je te l'ai déjà écrit auparavant, dans les pages précédentes. Enfin bref, ce n'était pas mon jour. A peine je suis arrivée que Jimmy a commencé à me charrié, arrivé en arts plastiques, hélas pour moi, il était juste derrière moi, avec elle . Il n'a pas arrêté durant tout le cours malgré mes protestations et les menaces de Louise qui commençait à s'énerver. « Tu sais quoi, apparemment elle sortirait avec l'autre, là, Quentin, le gros boutonneux. » Il ricana tout seul alors que je me retournais pour le contredire mais, j'en fus dissuadé quand je l'a vit. Elle lui jetait un de ces regards noirs qui avait le don de terrifier tout le monde dont moi-même. Était-elle en train de me défendre ? « Idiot. Elle sort pas avec lui, c'est qu'un con. Et je commence à me demander ce que je fou avec un gars comme toi. » Sur le coup, ça fonctionna à merveille, il resta la bouche ouverte et quand il reprit ses esprits, il se retourna vers sa feuille et commença à dessiner. Elle me sourit et je répondu à son sourire puis, elle se retourna. Tu dois sûrement te dire, « Quoi, c'est tout ? Tu te fiches de moi ? » et bien, non. Il y a une suite. Ensuite, tu te doutes bien, il y a eût la pause de dix heures, il faut bien qu'on puisse se détendre. Je suis allée aux toilettes et elle, elle était là en train de se remaquillé devant le miroir. Elle a détournée son regard vers moi, elle m'a sourit et j'ai répondu aussi. Que des sourires, rien de plus, ça devient lassant à longue, tu te trouves. Je me suis détournée de son regard pour entré dans une cabine mais, elle m'a retenue par le bras et m'a ramené contre elle. Nos visages n'était plus qu'à quelques centimètres du sien, je sentais son souffle dans mon cou, je haletais, mon cœur tambourinait si fort contre ma poitrine à croire qu'il tentait de s'échapper puis, ces lèvres se sont collés aux miennes. Une sensation indescriptible, doux, magique, tendre et merveilleux. Nos langues se cherchant, jouant, se défiant. Je n'ai jamais connu de plus beau baiser que celui là et à la seconde même où nos lèvres ont rompu le contact, j'ai ressentit un manque, énorme. « Oh mon dieu ! J'en mourrais tellement d'envie. » J’écarquillai les yeux et elle se mit à rire. J'adore son rire, je l'aime, son rire cristallin qui m'emmène à chaque fois dans une autre monde, on se laisse si facilement transporté. Elle me ramena à nouveau contre, toujours le sourire aux lèvres et reconnecta nos lèvres, dans un baiser plus chaste cette fois-ci. Nous avons continués de nous embrassés jusqu'à la sonnerie.

Quinze ans, New Jersey.

Chère journal,

Aujourd'hui, je doute. J'ai toutes mes angoisses et mes peurs qui sont remontés à la surface. L'une de mes profs à parler de la sexualité, elle se tenait juste derrière moi et... Je me suis demandé où j'en étais. Je refuse totalement de mettre une étiquette à ce que je suis et si tu savais, j'ai si peur. Mon père est disons... Un homme qui tient aux vieilles valeurs, on pourrait dire qu'il est presque homophobe aussi, il m'a répété si souvent que les gays ne le dérangeaient pas tant que ce n'était pas ses propres enfants, hélas pour lui, je crains bien que je fasse partis d'eux, que je suis lesbienne. Ce n'est pas la première fois que je me pose la question mais, j'ai tendance à l'éviter, je secoue la tête et je fais autre chose. J'ai peur, tellement peur. Elle se tenait juste derrière moi et quand elle m'a vue me crispé face au mot « homosexualité », elle m'a attrapé la main et la caressé doucement avec son pouce, je me suis détendue immédiatement mais, cette question persiste et reste toujours dans mon esprit, il faudra que j'y trouve une réponse, un jour... Je le sais. Après les cours, elle m'a attendue, pour me ramené à la maison. J'ai commencée à me montrer un peu distante au début mais, tu me connais, j'ai finit par me laisser emportée par mon envie de lui parlé et j'ai commencé de longs monologues. Ni mon père ni ma mère et encore moins mon frère n'était présent alors, je lui ai proposé d'entrée. Tout allait pour le mieux au début. On discutait comme d'habitude, je pensais au faite que je devais urgemment écrire dans mon journal, il fallait que je me confie. Puis tu sais bien, nos lèvres ont finit par se collés, on a échangés de nombreux baisers, fougueux, passionnés et j'ai... J'ai ressentit le besoin de plus, de l'excitation. Je me suis sentie prête. Et alors, j'ai passée ma main sous son tee-shirt et tout ce que je peux te dire, c'est que ça a eût l'effet voulue... J'ai perdu ma virginité, journal.

Dix-neuf ans, New York University.

Chère journal,

Nous avons rompu. Les relations à longue distante et moi, ça fait deux. Je l'aime, je suis folle d'elle mais, la distance fait que je ne tiens plus. Ne plus sentir ces lèvres contre les miennes, son corps contre le mien, ne plus pouvoir l'a touché, l'a caressée, ça me tue à petit feu et ce matin, elle a finit par rompre. Elle m'a dit que ça lui faisait mal d'être si loin de moi, qu'elle ne m'oublierait jamais mais, que 'nous', ça devait s'arrêter là. Maintenant, ce n'est plus que elle et moi, deux mondes différents... Elle a aussi mentionné ma difficulté à m'accepter, elle m'a dit qu'elle comprenait tu sais, que je ne veuille pas au début, que j'ai du mal avec ce que je suis, que j'avais peur de décevoir mon père mais, elle a dit que ça faisait quatre ans maintenant et que c'était énormément pour juste réfléchir et se trouver. Je l'a comprends. Moi aussi, j'en aurais eût marre à sa place, marre d'attendre pour rien, de donné pour ne rien recevoir en retour mais, j'en suis totalement incapable. Aujourd'hui, j'ai entendu parler d'une communauté nommé Zagreb. Gay, une communauté gay. J'envisage sérieusement d'y aller, tu sais. Peut être que c'est idiot mais, je pense que ça m'aiderait peut être à m'assumer, être avec des gens comme moi qui ne craignent plus ce qu'ils sont. Je dois d'abord terminer mes études, mon père y tient énormément et je ne voudrais pas le décevoir plus qu'il ne le sera sûrement.

Vingt-deux ans, Zagreb.

Chère journal,

« Tu... Tu es où ? Tu t'es perdue ma chérie ? Zagred, c'est pour les gays... Tu... Tu ne l'es pas... N'est-ce pas ? Réponds-moi ! » Voilà ! J'ai emménagé cher journal, ça me plait énormément comme endroit. Mais ce qui m'a moins plus c'était le moment de l'annonce à mon père, il a littéralement pété un câble, il a hurlé dans toute la maison et bien sûr, ça a terminé par ce dont je m'attendais, un « je ne veux jamais te revoir » et basta. Je ne lui ai pas dit que j'étais gay, juste que j'emménageais dans une communauté gay, bien sûr, il a relié les choses. Je ne m'assume toujours pas, j'ai du mal avec ça. Je n'ai jamais été pour les relations entre les deux sexes, éduqué dans l'homophobie de mon père, les gays, c'est sale. Pourtant, je me posais pas cette question quand j'étais avec elle mais, c'est finit tout ça. Je ne peux m'empêcher de ressassé le passé, je me sentais plus forte à ses cotés, j'étais mieux quand je me sentais encore hétéro. Une courte époque de ma vie, à peine douze ans. Enfin bref, aujourd'hui, je suis journaliste et je vis dans un appartement là-bas. C'est tellement charmant et plus agréable que New York ou encore le New Jersey qui mène une guerre l'une contre l'autre car, ceux du New Jersay ne sont pas « New Yorkais » et ce genre de chose totalement idiote. Je termine ce journal, aujourd'hui. J'en suis à la dernière page, à la dernière ligne, je ne t'aurais plus ainsi pour me confier mais, je pensais pouvoir apprendre à vivre sans toi, mon cher journal. Je te garde précieusement , au cas où un jour, j'ai envie de rire de mes idioties de gamine idiote.


PSEUDO Scaramouche. PRÉNOM Lucie. AGE Seize ans. PRÉSENCE 4/7. COMMENT ES-TU ARRIVE ICI ? Grâce à PRD Juliet ► Donc tu admets que croire au mariage serait comme croire au père noël ? - Terminé 2176505670 . CE QUE TU PENSES DU FORUM ? Il est parfait maintenant que je suis là. :P AUTRE J'aime, j'aime, j'aime. Juliet ► Donc tu admets que croire au mariage serait comme croire au père noël ? - Terminé 2176505670

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Dernière édition par B. Juliet Caplan le Mer 13 Juin - 23:36, édité 7 fois
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MessageSujet: Re: Juliet ► Donc tu admets que croire au mariage serait comme croire au père noël ? - Terminé   Juliet ► Donc tu admets que croire au mariage serait comme croire au père noël ? - Terminé EmptyMer 13 Juin - 21:43

BIENVENUE PARMI NOUS ♥️ Juliet ► Donc tu admets que croire au mariage serait comme croire au père noël ? - Terminé 4251308190

Merci de ton inscription & si tu as besoin d'aide.
N'hésite pas à prévenir le staff.
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MessageSujet: Re: Juliet ► Donc tu admets que croire au mariage serait comme croire au père noël ? - Terminé   Juliet ► Donc tu admets que croire au mariage serait comme croire au père noël ? - Terminé EmptyMer 13 Juin - 23:37

EMMA Juliet ► Donc tu admets que croire au mariage serait comme croire au père noël ? - Terminé 3586073573 Juliet ► Donc tu admets que croire au mariage serait comme croire au père noël ? - Terminé 3586073573 Merci à toi. =)
Je pense avoir terminer ma fiche.
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MessageSujet: Re: Juliet ► Donc tu admets que croire au mariage serait comme croire au père noël ? - Terminé   Juliet ► Donc tu admets que croire au mariage serait comme croire au père noël ? - Terminé EmptyMer 13 Juin - 23:44

Oh *-*
Dianna n'est pas mal non. Juliet ► Donc tu admets que croire au mariage serait comme croire au père noël ? - Terminé 2869606571 Juliet ► Donc tu admets que croire au mariage serait comme croire au père noël ? - Terminé 337664734 :cache:

Je te valide. ♥️
Amuse toi bien parmi nous.
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