“ EIRIK BOYLD „

ft. Garrett Hedlund

ϟ CE QUE TU PENSES DE MILA NOLA ; Franchement ? Je trouve ça stupide. Et surtout, personne n'a envie de savoir qu'une femme en aime une autre, ce n'est pas ... normal, enfin ça me gêne. Ce n'est pas que je suis homophobe ou ...non, mais je ne préfère pas savoir. Ont m'a élevé comme ça je n'en dirait pas plus. Par contre, je termine en disant qu'elle a surement ruiné sa carrière de journaliste sur ce coup là.

→ Eirik collectionne les histoire sans vraiment se poser. Précisons quand même que les histoires, se sont avec des femmes. Homosexuel refoulé, il tien a sa réputation de coureur, qui le rassure en quelque sorte, et en comptant le nombre de femmes dans son lit, il se dit qu'il est "normal". Il a bien eu quelques histoires avec des hommes, mais ça se passe toujours un soir dans un endroit sombre entouré d'inconnu et il considère ça à chaque fois comme une erreur de parcours.

→ Il a la mauvaise habitude de fumer ... beaucoup trop. Il a pourtant tenté d'arrêter plusieurs fois, patch, chewing-gum, cigarette électronique ... Mais rien n'y fait, rien ne vaut une cigarette après un café, après mangé, au lever, au coucher, au ... n'importe quand enfaite.

→ Il est fan de science fiction. Quand il était petit et qu'on lui demandait ce qu'il voulait faire plus tard, il répondait Dark Vador.

→ Il est bilingue anglais, son père étant a moitié américain. Il passait tout ses étés aux Etats-Unis quand il était plus jeune et y retourne encore régulièrement aujourd'hui puisque toute sa famille s'est installé là bas.

→ Il dit que son fantasme vivant est Natalie Portman, mais en réalité, c'est plus James Franco.

"Chéri ne regarde pas ces gens, ils ne sont pas comme nous.". Ce fut la première fois que je me retrouvais face à un couple homosexuel, et ce fut la première réaction de ma mère, la fuite, puis l'explication : ils sont différents. J'ai été élevé dans une famille très pieuse, raciste et homophobe, cette réaction était donc considéré comme normale. J'avais 10 ans, nous étions en vacances en Californie avec mes parents, on venait tout juste de sortir d'une restaurant et devant moi, je voyais deux hommes entrain de s'embrasser. J'étais bloqué devant eux à les regarder, c'est la première fois que je voyais deux hommes ensemble, je trouvais ça ... bizarre. Ma mère était tout de suite venu à mon secours comme elle l'aurait dit puis ma expliqué. Ces gens vivaient dans le pêché, il n'était pas comme nous et il ne fallait pas les approcher. Ce souvenir est resté gravé à jamais dans mon esprit et à chaque fois que je me retrouvais face à une situation de la sorte, tout ce qui venait à mon esprit était le dégoût et surtout la voix de ma mère qui me disait "Ils ne sont pas comme nous.". Je me disais que c'était vrai, on ne voyait presque jamais deux hommes ou deux femmes dans la rue qui se tenaient par la main où s'embrassaient, donc ce n'était pas quelque chose de normal pas vrai ? Je me souviens aussi de cette histoire que mon père m'avait raconté. C'était deux hommes qui vivaient près de chez mes grands-parents en Californie. Tout le monde savait qu'ils étaient gays, ou, comme disait mon père des tapettes. Il me disait qu'ils dérangeaient le voisins à s'afficher comme ça devant eux et surtout à faire comme ci de rien était. Puis un jour, l'un d'eux a disparu. Personne à part son compagnon ne s'en était rendu compte puisque personne ne s'intéressait à eux. Ce n'est que le lendemain qu'on la retrouvé, tabassé à mort dans une ruelle sombre de la ville avec écrit sur un bout de papier à côté "tapette". Voilà pour la petite histoire et la mention spéciale de mon père : voilà ce qui arrive aux types qui aime un autre homme, ils sont différents, donc on les élimine. J'ai donc été élevé dans le dégoût de l'homosexualité, et aujourd'hui encore, bon nombre de mes proches savent que j'ai gardé ce petit dédain pour ce type de personnes. A vrai dire, je ne me cache pas de petits commentaires ou de mauvaise blague à leur égard. Et puis, ça ce voit très bien que je suis mal à l'aise si je me retrouve face à un couple gay, je ne peux pas m'empêcher de tourner la tête, ou bien de les fixer et de lâcher des petites phrases qu'on juge "sympathique". Ce qu'ils savent moins en revanche, ce sont les relations que j'entretienne avec. Je vous dit ça en toute confiance, j'espère que vous n'allez pas le répéter, je ne veux pas que tout le monde se mette a croire que j'aime les hommes, je ne suis pas de ce genre. Cela doit venir de la fascination, ou peut être l'envie de l'interdit, vous savez ressentir l'adrénaline monter, se dire que si mes parents me voyaient il deviendraient fous. De toute manière c'est juste pour m'amuser, ce n'est pas une réalité. Ma première expérience, j'avais 18 ans et ...non, je ne vois pas pourquoi je parle de ça, je ne suis pas homo. J'aime les femmes, pas les hommes, un point c'est tout. Si un jour vous me voyez avec un homme, c'est simplement parce que j'ai trop bu ... ou juste pour franchir un peu les interdits ... De toutes façons vous ne me verrez jamais avec un homme, je vous l'ai dit, je ne suis pas homo !

Bonjour je m'appelle Laurène *Bonjour Laurène* :out: J'ai 19 ans et ... je préfère jouer dans le mystère. J'aime le chocolat, les framboise, dormir et Justin Bieber (une de ces affirmations est fausse, je vous laisse deviner laquelle (a)) Et voilà voilà, je trouve le concept du forum très original (ça fait longtemps que je veux jouer un gay refoulé *out*) et ça promet de très bon RP tout ça