Sujet: Leight « I'm sexy and I know it » Jeu 12 Juil - 21:50
Leight C. Everdeen
Love, love, love.. What's the point ? Absolutly nothing. by Skins
Lifehouse - broken
NOM COMPLET♘ Everdeen PRÉNOMS♘ Leight Caly AGE♘ 20 ans DATE DE NAISSANCE EXACTE♘ 5 décembre 1992 LIEU DE NAISSANCE♘ Tijuana NATIONALITÉ ET ORIGINES♘ Mexicaine & Américano-mexicaine STATUT♘ Libre comme l'air OCCUPATION♘ Boire et chercher les emmerdes ORIENTATION SEXUELLE♘ Tout ce qui peut hurler mon nom GROUPE♘ STRETCHING IN BETWEEN AVATAR♘ Barbara-sexy-Palvin
✎ CARACTÈRE
Leight sait ce qu'elle veut et n'ira jamais contre ses idées. Après tout, nous n'avons qu'une vie, pourquoi s'encombrer de détails qui ne vous suffisent pas ? C'est aussi une jeune fille sans tabous et sans barrières. Elle peut tout tester, avoir envie de n'importe quoi, là juste maintenant. Néanmoins, Leight n'est pas autoritaire. Les autres font ce que bon leur semble tant qu'ils n'entravent pas dans sa vie. Malgré tout, elle essaye de ne pas s'attacher aux autres. A quoi bon ? On finira par mourir. Carpe Diem. La jeune brune peut être une vraie salope, mais reste en général so cool, sans se prendre la tête avec ce qui ne la regarde pas. A partir du moment où l'on touche à ses proies du mois.. C'est dans ce domaine surement qu'elle pourra se montrer la plus lionne possible. Malgré tout, c'est une jeune fille très sensible qui veut juste se montrer forte et cacher ses faiblesses.
✎ PARTICULARITÉS
Brune aux yeux bleus. Pas très grande du haut de son mètre soixante-six, elle peut alors se permettre de mettre des talons aussi haut qu'une tour de légo. Elle attache une grande importance à son allure. Vous ne la verrez jamais sortir de chez elle en pyjama. Un petit buzz ? Leight s'est fait violé à l'âge de quinze ans par son père. Et ça aurait pu la traumatiser. Bizarrement, ce ne fut pas le cas, excepté le fait peut-être qu'elle commença alors à déraper dans la période noire de sa petite vie. Sinon, ne la faites jamais fumer autre chose que de la cigarette. Elle se montrerait alors violente, et recommencerait ce pourquoi on l'a envoyé ici, à Zagreb. Son casier judiciaire est rempli. Mais chut, c'est un secret. Ce n'est pas la première chose que l'on dit à son premier rancard. Et ce n'est pas toute de suite que vous saurez de quoi il retourne... La patience est vertu.
Une naissance est un jour heureux, attendue de tous, où l’on fait la fête. Une naissance est un nouveau départ, une nouvelle vie. N’importe qui vous le dira, n’importe qui le sera. Les oiseaux devraient chanter, le soleil brillé. Oui mais lorsqu’on donne naissance un cinq décembre, c’est la neige qui tombe, les manteaux fermés, les nez rouges. Mais qu’importe. La joie est là, les sourires aussi. C’est ce qui aurait du se passer ce jour-là. Mais lorsqu’on creuse un peu sous la couche, rien n’est pareil. Et pour moi, ce fut tout le contraire. Je sais que je ne suis pas la seule dans ce cas. Mais voilà, c’est mon histoire, ma vie, et je ne peux que vous raconter ce qu’il s’est passé pour moi. Leight Everdeen. C’est moi. Et personne d’autres.
Cinq décembre. Les aiguilles approchaient doucement de minuit. Bientôt, le temps serait à la fête, et St-Nicolas viendrait apporter des cadeaux aux pieds des cheminées. Les heures défilaient, les cris d’une femme à la longue chevelure brune emplissaient l’hôpital. Les infirmières peinaient pour elle. Le docteur tremblait par peur. Peur de l’échec. Peur de la mort. Peur de son métier. Un homme était debout, aux côtés de la femme, les yeux fermés il tenait sa main. Main qui était blanche. Main qui avait des spasmes. Le monde tourne et ne s’arrête jamais. Jamais. Même lorsqu’un drame se produit. Drame qui ne touche qu’un pourcent de la population. Et en ce vendredi soir, le ciel retira une fois de plus la vie d’une femme de ce monde. Poussant une dernière fois, un petit machin tout rouge et tout crispé sorti de son utérus, et celle-ci rendit l’âme. Silence. Etroitesse. Pleurs. Cauchemar. Tous ces mots qui n’expriment qu’une chose. Celle de la perte d’un être cher. L’homme debout n’aurait jamais imaginé une telle chose. Que l’amour de sa vie, que l’étincelle de ces journées trop sombres le quitte en donnant la vie à une chose immonde, sans yeux ni cheveux. Mais le monde est ainsi fait. Très vite, les médecins prirent le corps de cette femme en charge, donnant le bébé à l’homme, toujours debout, sans expressions. C’en était fini. Et pour de bon.
Comme vous pouvez vous en douter, je n’ai jamais connu ma mère. Cette femme si importante aux yeux de mon père s’était éteinte en me donnant la vie. Ce serait mentir que de dire que je n’en ai jamais souffert. Tout le monde souffre de l’absence d’un parent. Surtout lorsque vous êtes une fille et que vous êtes sans mère. Qu’est-ce que mon père du haut de ces trente cinq ans pouvait comprendre à la vie d’une jeune fille ? Rien. Ma seule famille, c’était lui. Mes seuls contacts, c’était cet homme déchiré. Un homme qui n’avait jamais demandé d’avoir un gosse et encore moins qu’on lui arrache, que je lui arrache, l’amour de sa vie. Mais qui pouvais-je ? Rien. Sauf qu’enfant, vous êtes naïve, et lorsque votre seul repère vous répète à longueur de journée que vous êtes la fautive… Vous ne pouvez qu’hocher la tête. A six ans on ne sait faire la différence entre vérité et mensonges. Mais était-ce vraiment un mensonge ? Je me sentais coupable. J’avais l’impression d’être une meurtrière. Comme dans les films. Le méchant qui casse la vie des gentils en mille morceaux. Celui qui mérite de mourir dans d’atroces souffrances. Parce que sans moi, elle serait toujours là.
Vie de famille. Vie banale. Vie d’amour. Vie de haine. Vie de tous les jours. Vie. Il faut vivre pour mourir. Mais il faut mourir pour vivre. Tout est contradictoire, tout est mensonges. Je vécu dans cette atmosphère jusqu’à mes quinze ans. Contrairement à ce qu’on aurait pu penser, je serais devenue une fille introvertie, peureuse et sans liens autre que son père. Ce qui n’était pas totalement faux. Certes, tout était ainsi, mais il n’empêche que lorsqu’on me parlait, les grands avaient souvent l’habitude de dire que j’étais mature. Ce que mon père contredisait. A chaque fois. Père. Mère. Sœur. Frère. Tous ces noms que l’on emploie et qui sonne faux. Il n’y a pas que la famille. Le monde est trompeur. Si j’avais déjà voulu tenter de rejoindre ma mère, je n’en avais jamais rien fait. Trop peureuse. Pas assez courageuse. Bonne à rien. Trois adjectifs favoris de cet homme, bouteille à la main. Mais donc. Le jour de mes quinze ans. Je pense que c’est là que tout dérapa. Prise d’une quinte d’alcoolisme aigu, mon cher géniteur entra dans la chambre, ou le placard, qui m’avait été attribué. Je vous passerai les grosses parties, parce que revivre une fois encore tout cela dans les moindres détails, c’était très peu pour moi. Ne sachant rien du corps humain, ne sachant rien de la sexualité, je pris quelques minutes avant de comprendre que ce que cet homme était occupé à faire dépassait les mœurs de la société. Comment pouvais-je savoir que j’étais en train de me faire violer ? Aucune idée. Quoiqu’il en soit, je le fus. Et je crus mourir. De déchirement, de honte, de chagrin. Je n’étais pas elle. Et petit à petit je prenais conscience que non, ce n’était pas de ma faute. Pas cette fois.
La mémoire ne sélectionne que ce qu’elle veut. Je ne me rappelle que brièvement de cette nuit et des jours d’après. Tout ce dont je me souviens s’est de m’être enfui de chez moi. Et le mois qui suivit est aussi brumeux qu’un jour d’orage. Paroles, rencontres, tout n’est que noir. La mémoire ne sélectionne que ce qu’elle veut. J’en ai la preuve. Un soir par contre est aussi clair qu’une nuit de pleine lune. Réfugiée dans un centre de toxicomane qui me permettait de rester incognito, cette nuit-là, je touchais à la première fois à la drogue. Cette substance pourtant illicite qui vous enivre jusqu’au plus profond de vos tripes. J’avais rencontré une personne mystérieuse, étrange et pourtant tellement intrigante. Ce fut elle qui me fit goûter à la coke. Et ce fut elle qui fut mon partenaire. Cette personne dont je garderai l’identité secrète. Pour raisons de sécurité. Je ne me souviens plus de tout. Tout ce dont je me rappelle c’est d’être entrée dans cet appartement où régnait puanteur et dégoût. Avoir ramassé un couteau qui traînait par terre et m’être avancé dans l’ancien salon que j’occupais alors. Le cerveau embrouillé par les vapeurs de la coke ingurgitée plus tôt, je ne me rendais pas compte de ce que je faisais vraiment. Et pourtant. Lorsque je me suis réveillée le lendemain matin, c’est un corps sans vie qui se trouvait à mes pieds, un couteau aussi rouge qu’un morceau de fraise et un mal de crâne insupportable. Ce fut le début de la fin, mais tout autant la libération, la joie, l’envie, le début.
Meurtre d’un homme seul. Faisait le titre de tous les journaux. Sans trop savoir comment, on ne me soupçonna jamais et l’affaire fut vite classé. Un coup de chance ? J’avais de gros doutes. Quoiqu’il en soit, je fus recueillie par un orphelinat et après plusieurs semaines de recherches, on découvrit qu’il me restait de la famille, à Zagreb, en Croatie. La sœur de ma mère. Coup de bol ou pas, je fus envoyé là-bas. Et contrairement à ce que je pensais, je fus accueillie comme une reine. De plus, mon nouveau cousin était une crème. Je leur en suis éternellement reconnaissante de m’avoir laissé vivre une vie de famille normale. Et puis je ne suis plus la petite fille autrefois renfermée et timide. Justement, je suis tout le contraire. Dévergondée, sans tabous, amoureuse de la vie. Je saute sur tout ce qui passe, la seule caractéristique ? Qu’ils savent crier mon nom aussi fort que leur permette leurs poumons. Le seul petit problème de ma personne ? J’étais violente. Violente lorsque je prenais de la drogue. Violente jusqu’à la bagarre. Violente jusqu’au meurtre. Mais tout le monde sait qu’on ne change jamais ses vilaines habitudes. N’est-ce pas ?
PSEUDO♘ Suika, oui c'est moiiii ! PRÉNOM ♘ Romane AGE♘ 18 ans. PRÉSENCE♘ régulièrement, 6/7 ! COMMENT ES-TU ARRIVE ICI ? ♘ Via PRD. CE QUE TU PENSES DU FORUM ?♘ Very good ! CODE DU REGLEMENT ♘ Code OK baby. AUTRE ♘ Have fun.
DIVERS CREDITS♘ bazzart, tumblr
Dernière édition par Leight C. Everdeen le Dim 15 Juil - 20:39, édité 5 fois
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Sujet: Re: Leight « I'm sexy and I know it » Jeu 12 Juil - 22:51
Bienvenue à toi jeune fille :) Bonne chance pour ta fiche !!
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Sujet: Re: Leight « I'm sexy and I know it » Ven 13 Juil - 0:53
Bienvenue parmi nous
Merci de ton inscription et bonne chance pour ta fiche.
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Sujet: Re: Leight « I'm sexy and I know it » Ven 13 Juil - 12:14