L'histoire de sa vie & liens : Aleksei est tombé amoureux 3 fois dans sa vie. Une fois de celle qui aura été sa femme pendant sept ans, jusqu’à la mort de celle-ci, une fois d’un homme merveilleux du nom d’Anton, qui a su apaiser la tristesse d’avoir perdu son véritable premier amour. Et la fois qui compte le plus : il est tombé raide dingue de sa fille dès qu’il a posé les yeux sur ce bébé de 2kg400 et de 43cm. Bon pas du même amour, bien évidemment. Mais sa fille est une princesse à ses yeux et elle mérite tout l’or du monde.
Il a 25 ans lorsqu’il rencontre sa femme, 27 lorsqu’il l’épouse et 32 lorsqu’il la perd et que sa fille naît. Lorsque sa femme est morte en donnant naissance à sa fille, il a décidé qu’elle ne manquerait jamais de rien et surtout pas d’amour ! Il a travaillé d’arrache pied pour qu’elle se sente aimée par lui comme par de deux parents en même temps.

Il a rencontré Anton alors que la petite avait 4 ans. Réticent au début, il a finalement craqué et a accepté ses sentiments. Il n’avait pas trop le choix, de toute façon : Alesia adorait Anton et ce dernier adorait Alesia tout en respectant une distance pour laisser à Aleksei le temps de s’y retrouver.
C’est avec Anton qu’il découvre sa part d’homosexualité. Ensemble, et avec Alesia, ils vont à la première pride d’Aleksei (et d’Alesia qui avait alors que 6 ans) à Ljubljana. Ils y retourneront chaque année, en faisant un rendez-vous familial.
C’est à ses sept ans qu’Alesia,  demande à Aleksei, pour Noël, de faire d’Anton son “véritable deuxième papa”. Ne pouvant pas se marier, Aleksei demande à Anton s’il accepte d’adopter sa fille, comme la loi slovène les y autorise. La chose se fait très rapidement.

C’est un collègue d’Andrej Ohlin, avec lequel il est amis depuis au moins 3 ans(et moins de 5 ans :p). Il ne le sait pas encore mais sa fille et Andrej se fréquentent depuis grosso modo un an en secret.

L'histoire de sa vie & liens : Anton a vécu une vie bercée par le racisme puis par l’homophobie. Enfant né d’une mère Ivoirienne et d’un père slovène, il a toujours vécu avec un sentiment d’insécurité. Mais c‘est aussi pour cela qu’il voulait à tout prix faire un métier prestigieux : montrer à tous ces racistes homophobes privilégiés qu’ils ont échoué, que leur but de le maintenir à terre n’a pas fonctionné.

Il découvre son homosexualité assez tôt mais ne se pose pas réellement avec quelqu’un avant au moins ses 22-25 ans.
C’est a ses 35-36 ans qu’il a le coup de foudre pour un homme du même âge que lui. N’ayant pas peur d’aller à sa rencontre, il y va. Les deux hommes sympathisent assez vite mais Aleksei reste un peu en retrait. C’est au bout de leur six mois de relation cachée qu’Anton découvre la petite fille rousse pour qui il aura une coup de coeur, qui s’avérera être réciproque. Anton se calera sur le rythme d’Aleksei tout au long de leur relation, le laissant prendre ses marques. Et même s’il n’apprécie pas vraiment devoir vivre caché, il l’accepte. Un an et demi plus tard, il propose à Aleksei d’aller à la gay pride de Ljubljana, avec Alesia. Il est surpris, mais heureux, qu’il accepte.
C’est en 2000 que la petite famille atypique  découvre la Croatie et tombe raide dingue de Zagreb. Le temps de se faire muter tous les deux, soit deux ans, et ils s’y installent.

Il est un père présent. Mais tient plutôt du bon pote que du père. Il n’a jamais réellement cherché à avoir de l’autorité sur Alesia et ce peut être un point de discorde avec Aleksei. Il est toujours là lorsque sa fille a besoin de lui et il sait à la perfection comment la consoler.