Invité | Sujet: MELVIN • Et deux princes qui se marient pourquoi on en voit jamais ? Mer 10 Aoû - 22:09 |
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“ MELVIN GAËL GRAYSON „ ft. Mitch hewer 21 ans ϟ GAY AND PROUD TO BE ϟ SANS TRAVAIL
DENVER 20 mars 1990 ϟ LIBRE ϟ CE QUE TU PENSES DE MILA NOLA ;Elle est idiote ! C'est bien qu'elle assume son homosexualité, apres tout ce n'est pas le cas de tout le monde et elle défends ses causes, mais elle en fait trop. La communauté gay est souvent mise a l'écart, pourtant ce sont des gens comme tous le monde, et personnellement je pense qu'elle nous fait passer pour des agressifs, enfin c'est mon avis personnel.
. “ Cinq trucs inutiles à savoir... „→ Toute sa famille du coté de sa mere étant des gens de la haute société et a cheval sur les principes, il à été renié et déshérité par ses grand parents quand il leur a dit qu'il était gay.
→ Il est sorti avec une fille quand il était ado mais il le regrette car il savait déjà qu'il était homo.
→ Melvin est un grand enfant et il n'aime pas étudier, il prefere regarder des dessins animés → Sa plus grande passion est la danse, il n'a jamais ou en faire officiellement mais il a apprit tout seul et il est doué.
→ Il a failli coucher avec un garçon {son premier amour } mais celui ci s'est défilé. Donc Melvin est encore vierge. . “ Once upon a time... „" PARDON ?" son visage de noircit. Elle avait l'habitude d'apprendre des nouvelles plus ou moins excitantes, commère comme elle l'était, mais ça c'était la cerise sur le gâteau. Le médecin lui dit avec un sourire si joyeux et chaleureux qu'elle avait envie de lui balancer son téléphone a travers la figure. " Félicitations, Madame, vous êtes enceinte de 3 mois !" mais ça a la limite ce n'était rien, c'edt surtout quand il lui dit " n'y a-t- il pas de plus belle façon d'avoir des nausées ? " avec un sourire imbécile qu'elle eut envie de le tuer. Elle de contenta de se lever et de lancer une petite phrase presque inaudible mais qu'il entendit très bien " c'est mademoiselle, pas madame" en passant la porte. Je suis né le 20 mars 1991 à Denver dans le Colorado, j'ai pas eu trop le choix vu que ma mère, qui avait a peine 20 ans, vivait chez ses parents. Pourtant j'ai eu comme la sensation, a peine né, d'être différent. Je ne ressemblais à personne de la famille, pas même ma mère. Avec leur grand yeux verts et leur cheveux bruns ondulant sur les épaules, je me sentais vraiment a part. Apparemment le sort s'acharnait sur moi, car quand je devais avoir 2 ans par la, j'ai fait un malaise le jour de mon anniversaire. Tout le monde s'est inquiété et finalement on a découvert que j'étais malade. Ouais, malade. Aujourd'hui c'est facile d'en parler, parce que j'ai appris a vivre avec. Bah, c'est qu'un maladie du cœur héréditaire, rien de bien grave. De toutes façons j'aurais pas d'enfants donc cette maladie pourrira avec moi. Mais ce n'est pas ce que pensait ma mère, a la limite les autres ils s'en foutaient, vu que j'étais un " enfant bâtard" ouais j'avais pas de père, vu qu'il est parti avant que je ne naisse. Alors elle s'occupait bien de moi, et moi disons que jusqu'à un certain âge ben j'en profitais mais après c'est devenu compliqué
“ I can't do this, I can't pretend „
J'ai toujours vécu avec ma mère. Comme elle était jeune et qu'elle n'avait pas beaucoup d'amis, elle s'appuyait sur moi. Quand elle avait un souci, elle me demandait, ou je la consolais. Quand elle sortait, je l'aider à trouver une tenue. J'étais son confident, comme sa meilleure amie. On à toujours été proches, mais parfois il m'arriver de ne pas la comprendre, ou de me sentir incompris. " Au fait Mel je sais pas si t'as vu mais les nouveaux voisins ont une fille de ton âge très mignonne ! Elle devrait te plaire, pourquoi tu ne l'inviterais pas à sortir ?" " Ah oui.. Elle est ... Très mignonne . Mais... " Jamais les filles ne m'ont intéressé. Ça a toujours été comme ça. Oui déjà a 15 ans je savais que je n'étais pas comme les autres, moi je n'aimais pas les filles. Je pensais que ma mère le savais, mais bizarrement elle cherchait toujours à me trouver une copine. Alors quoi ? Qu'est ce que je pouvais faire ? La fille en question était chaude comme de la braise et je lui plaisais. Alors juste pour ma mère je suis sortie avec ... ça. Ça a pas duré longtemps, parce que je n'aimais pas cette fille, ne serais ce qu'en amie. " Oh Melvin tu embrasses si bien, tu veux pas enlever ton tee shirt que je vois tes beaux abdos ? " " Pardon ? " " Ben quoi ? Tu veux pas qu'on fasses des trucs..? Mais je t'aime ! L'âge n'a pas d'importance ! Ah... j'ai compris, c'est que t'es... impuissant ? " " NON C'EST PAS QUE JE SUIS IMPUISSANT, MAIS JE T'AIME PAS... JE SUIS HOMO , TU COMPRENDS ? HO-MO !! " Elle éclata de rire, c'est tout ce qu'elle a su faire, cette délurée. Je ne lui ai plus jamais parlé, et ce jour la c'était la première fois que je disais tout haut : Je suis homosexuel. Je sud rentré énervé chez moi ce jour là. Je me disais que ma vie était pourrie, d'autant plus que je vivais avec une mère autant mysterieuse que casse pieds. " Melvin, tu connais Zagreb ? " Nan, c'est qui ? " " Idiot ! C'est une ville Zagreb, c'est... c'est la ou ton père vit. Il m'a.. il t'a envoyé une lettre contenant un billet d'avion pour Zagreb. Il voudrait que tu ailles y passer quelques temps." Ma vie reprenait soudain des couleurs.
“ I have something to tell you, mom. „
Ce jour la le soleil brillait plus que jamais. Denver tout entière était envahie par la chaleur. J'avais 18 ans et je passais mes vacances d'été hors de chez moi. Tous les jours un membre de ma famille de ramenait à la maison, alors je préférais m'éclipser. J'ai toujours détesté cette famille, et c'était bien réciproque. Ils trouvaient toujours le moyen de dire quelque chose contre moi. " Ce garçon passe ses jours dehors, il laisse sa pauvre mère seule, alors on est bien obligés de venir lui tenir compagnie" . Voilà le genre de phrase que j'entendais tous les jours, je ne leur répondais rien, mise part qu'une fois sorti, je balançais un "fuck" bien audible avant de me tirer de la. Ma mère n'était toujours pas au courant que j'étais gay. Personne sauf cette fille n'était au courant, je lui avait fait promettre de ne rien dire. Parfois on se voyait, elle était devenue très populaire, mais elle tenait à tout prix a ce qu'on reste amis. Amis... je n'ai jamais eu l'impression d'avoir été ami avec elle, mais dans sa tête c'était le cas, il parait que j'ai été raide dingue d'elle, aussi... Quand je lui avait dit ça, elle avait rigolé en premier, puis elle m'avait dit une phrase. 3 ans plus tard je ne l'avais toujours pas oubliée, et plus j'y pensais plus je me disais qu'elle avait raison " Mais, Melvin, si tu es homo et que apparemment tu en es sur, pourquoi tu ne veux pas que les autres le sache ? Tu préfères faire semblant, comme tu l'as fait en sortant avec moi ? T'es bizarre... " ce jour la je lui avait juste répondu " ouais, j'suis bizarre. " Ce jour là, cette phrase résonnait sans cesses dans ma tête, plus intensément que d'habitude. Je me sentais prêt. Je savais qu'aujourd'hui, j'allais enfin le dire à tout le monde, en commençant par ma mère. Je me levais d'un bond du banc ou j'étais assis, respirait un grand coup et repartis chez moi.
" Maman ..? Bonjour Grand père. Heuu maman je peux te parler d'un truc ? " je souriais, l'air plutôt confient, même si j'avais peur. C'était mon moyen de déstresser. Je croisais les bras et levais les yeux en l'air, cherchant comment lui dire.. " Oui mon chéri, qu'est ce qu'il de passe.. Papa, tu peux nous laisser, s'il te plait, moi aussi j'ai quelque chose à dire à Melvin. Oui, mon cœur, qu'est ce qu'il y a ? " *air étonné " Heuu, mais qu'est ce que tu veux me dire, toi ? " " Non, non, commence ! C'est une si bonne nouvelle que je veux garder le suspens .. Tu voulais me dire quoi ? " " Ah... Et bien euuh, voilà. Maman, je ne veux pas que tu me cherches de copine. *petite pause* Pour deux raisons : la premier c'est que j'aime quelqu'un et l... " " OH !! C'est fabuleux ! Mon fils a une copine ! Comment s'appelle-t-elle ? MAMAN ! Je.... je n'aime pas une fille.. je suis.... Raaah j'en ai marre que tu me cherches des petites amies, je pensais que tu avais vu. Maman, je suis gay ! Voilà je l'ai dit." Elle ne répondit rien. Elle lâcha son verre d'eau qui tomba et se cassa d'un bruit perçant. J'avais les larmes aux yeux. Je m'approchais d'elle, elle regardait fixement droit devant elle. Je ne m'attendais pas a cette réaction. Je ne m'attendais pas à ce qu'elle saute de joie, mais qu'elle me dise quelque chose de bien, comme "ce n'est pas grave, l'essentiel c'est que tu sois heureux, je t'aime." J'étais plus grand qu'elle, et en me voyant face a elle, elle leva la tête. Je lui souris maigres tout, essuyant un larme qui coulait sur ma joue. Mon grand père rentra dans la pièce. En le voyant, elle se recula et se jeta dans ses bras. " Papa, c'est impossible. Mon seul enfant est homosexuel. C'est impossible ! " répétait elle, alors qu'il me regardait menaçant. Je plissais les yeux, serrais les poings, avant de lever la tête pour cacher la colère et la tristesse. " Si maman, c'est possible. Je n'arrive pas à croire que tu oses dire ça. Toi qui est toujours en train de dire que tu aimes le gens, la diversité, etc. , mais des que ça te touche a toi tu ne dis plus ça. Ils t'ont trop bourré le crâne, ces enfoirés ! Maman je suis homo, et tu vas devoir t'y faire, parce que c'est ainsi depuis toujours." mon grand père s'approcha de moi et me mit une claque de sa main imposante. " Tu ne fais plus partie de la famille. Tu n'as qu'à aller rejoindre ton père, à Zagreb ! " je les regardais tous les deux avec un air désespéré. " Très bien. Puisqu'on ne veut plus de moi parce que je ne suis pas assez hétéro pour vous, messieurs dames, et bien je m'en vais. J'aurais du le faire bien plus tôt. "
“ I love you, boy. „
Je me souviens de la première fois ou j'étais allé à Zagreb. Je trouvais cet endroit magnifique, mais j'étais si tendu à l'idée de voir mon père. Mais finalement, c'est plutôt le manque d'oxygène dans l'avion qui m'avait démoli. Finalement, l'avion s'est posé et j'ai pu sortir pour récupérer mon souffle. Je déambulais dans l'aéroport avec mes 3 valises à la recherche d'un homme qui s'avérait être mon père. Pendant une heure j'ai cherché, mais la foule était telle que je ne voyais rien. Ce n'est qu'un peu après que je vis un homme assit sur un siège, avec des sacs en plastique et un panneau en carton ou il était écrit : MELVIN GAËL GRAYSON. En fait, je ressemble tout à fait à mon père. Les gens ont du nous prendre pour des frères. Il ne savait pas si j'allais venir, mais il m'avait attendu. Je lui souriais sincèrement et il me parlait de sa vie : son enfance, ses amours, pourquoi il était parti... " Je suis désolé Melvin, je n'ai pas ou faire autrement. Ce n'est pas que je ne voulais pas de toi, ni que je n'aimais plus ta mère. D'ailleurs comment va-t-elle ?" Oui. Tout le monde m'a dit que c'était un gros salaud. Mais je n'étais pas de cet avis. Il vivait à Zagreb quand il a connu ma mère, ils étaient jeunes, c'était un amour de vacances. Il n'a pas eu le choix. J'ai passé trois semaines de bonheur, pas seulement parce que j'étais avec mon père... Je me souviens d'avoir rencontré un garçon merveilleux la bas. Le feeling est passé tout de suite. Peu a peu, je sentais que mes sentiments pour lui ont évolués. Oui, je l'aimais. Je pense qu'il m'aimait aussi, enfin je ne sais pas. Il m'a rendu heureux, mais après, il s'est défilé, au moment ou on aurait pu aller plus loin, il est parti. J'ai voulu le rattraper, mais je n'ai pas réussi. J'ai pas compris. Apres ça je suis retourné à Denver. Je me suis remis en question, mais je n'ai jamais pu l'oublier. Il est le seul que j'ai aimé et c'est encore le cas ... Fin du flash back
Je me réveillais dans l'avion, j'avais rêvé de lui. On allait atterrir à Zagreb. Voilà. Depuis 4 ans je vis la bas. Lui, je ne l'ai jamais oublié, j'espère le retrouver. C'est tout ce que je veux. “ Marie/.BARBARA „Coucou moi c'est Marie. Je fêterais mes 15 ans le 9 Décembre :D Je fais une seconde générale et parmis les passions il y a le cinéma, c'est pourquoi j'aimerais être scénariste. Sinon j'aime la musique, les animaux et mes amis plus que tout. Je suis quelqu'un d'assez sympa je pense, ma grande qualité est que je ferais tout par amitié. Mes deux plus grands défauts sont que je suis susceptible et --" narcissique... Bon ben ce forum je l'aime depuis le premier jour ou j'ai vu le sujet sur Bazzart, je suis bien ici les gens sont sympas, rien a redire, c'est parfait :P
Dernière édition par Melvin G. Grayson le Ven 12 Aoû - 18:52, édité 12 fois |
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