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 Quand l'homme parle aux canons des fusils je parle aux ronds noirs des pupilles. drayan.

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MessageSujet: Quand l'homme parle aux canons des fusils je parle aux ronds noirs des pupilles. drayan.   Quand l'homme parle aux canons des fusils je parle aux ronds noirs des pupilles. drayan. EmptyLun 15 Aoû - 23:16




DRAYAN ZACHARY ANDREA SHERMAN
ft. tom sturridge


21 ans ϟ bisexuel pas vraiment encore fixé ϟ étudiant en langue étrangère, employé dans un centre d'appel le soir.

PHOENIX & 2 juin 1990 ϟ célibataire
ϟ CE QUE TU PENSES DE MILA NOLA ; Etant donné que je viens juste d'arriver je n'ai pas encore put vraiment m'intéresser au 'phénomène', mais une personne défendant les droits homosexuels et pour moi forcément une bonne chose. Les homosexuels ont à présent un visage dont ils sont fièrs, ils en avaient besoin, cela les aidera à s'assumer je pense.
.

“ Cinq trucs inutiles à savoir... „


Drayan souffre d'un TOC, un trouble obsessionnel compulsif qui l'oblige a se laver les mains et le visage à longueur de journée et à ne pas déplacer les objets de sa chambre sous peine d'en faire une véritable crise d'angoisse. Il s'acharne à ce que personne ne le découvre et jusqu'à maintenant ça a plutôt bien marché. A cause de ce problème il a du mal à mener une vie normale même si d'un oeil extérieur il se comporte comme n'importe quel individu, cette façon d'être n'est en réalité qu'une façade pour cacher son mal être.
Il est allergique aux poils de rongueur. Le meilleur moyen de le tuer ? Introduire un hamster dans son appartement. Il n'osera pas le toucher de peur de devoir se laver les mains et finira par mourir à force de tousser à s'en arracher les poumons.
Malgré le trouble dont il est victime Drayan est quelqu'un de très fier qui ne supporte pas de ne pas comprendre. Il faut qu'il comprenne tout, aussi bien les gens que les phénomènes. C'est un scientifique dans l'âme qui n'a pas peur de dire ce qu'il pense car pour lui la vérité ne devrait jamais blesser les gens. Il adore être le meilleur mais n'est pas du genre à fanfaronner, c'est avant tout un intello qui adore étudier et obtenir des résultats excellents, car étudier est la seule façon pour lui de se sentir bien, de se dire qu'il est comme tout le monde.
Drayan a peu d'ami, car il pense que s'il se rapproche trop des autres ils risquent de découvrir qu'il est complètement malade, ce serait une véritable honte pour lui, un enorme coup de point dans son orgueil. Alors il reste distant, essaye de ne s'attacher à personne et de ne donner aucune raison aux autres de s'attacher à lui. Ce n'est pas pour autant qu'il se montre méchant égoïste et cruel, loin de là, c'est juste que Drayan est dans une bulle et personne ne peut l'atteindre, c'est ainsi. Toujours en retrait, observateur plutôt qu'acteur, à l'écoute mais peu bavard.
Une dernière chose à savoir. Drayan est un fan inconditionnel des pokémons.

.

“ Once upon a time... „
Rédigez ici l'histoire de votre personnage. Vous pouvez l'écrire sous la forme de votre choix, anecdotes ou RP, c'est comme vous voulez. Mais vous devez écrire un minimum de 40 lignes (visibles sur l'écran de l'administrateur)


Je me suis lavé les mains. Debout devant le lavabo, dans la salle de bain, je me suis lavé les mains avec du savon hypoallergénique parfumé à la lavande. J’ai fermé ensuite le robinet, j’ai reposé le savon, je me suis séché les mains.
Je me suis dirigé vers la porte mais je n’ai pas pu sortir. J’ai essayé pourtant, mais je ne pouvais pas. Je savais parfaitement que j’avais le droit de sortir, bien sûr que je le pouvais, mes mains étaient parfaitement propres. Je me les étais lavé déjà six fois. Cinq de trop. N’importe quel individu normalement composé se serait rincé les mains vite fait sous l’eau et serait sorti. Mais pas moi, parce que le chiffre c’était neuf. Neuf fois, et pas six. Il me restait donc encore trois fois. Et déjà la peau de mes mains me démangeait, tout comme celle de mon visage que j’avais lavé à cinq reprises. Cinq fois, c’était pour ma figure, neuf c’était pour les mains, parce que les mains sont davantage exposées aux saletés que le visage. Dans une journée les gens se lavent les mains une fois, deux ou trois au maximum. Ils ont leur vie normale, ils ne meurent pas dévorés vifs par les bactéries. Allez savoir pourquoi, mon cerveau ne comprenait pas ça. L’angoisse me tordait l’estomac, je tremblais. C’était complètement inutile de résister. Je repris le savon et me frottais à nouveau les mains sous l’eau fraîche. J’avais mal. Encore deux fois et je serais libre. Libre pour un temps limité. Je me relavais encore les mains tout en sachant pertinemment que j’étais ridicule, que tout ça se passait uniquement dans mon esprit. J’étais prisonnier de ma propre tête. J’étais pitoyable. Je me détestais, dans ces moments là. Je me suis lavé les mains une neuvième fois, et ce coup ci, mes ongles ont entamé la chair et je me suis mordu la lèvre inférieure alors qu’un frisson de douleur me parcourait le dos. Je devais vraiment être masochiste. Mais au moins, maintenant, je pouvais sortir de la salle de bain…


Si je devais commencer par vous raconter ma vie, je vous dirais que mon prénom est un prénom Canadien très peu connu. Mais le truc, c’est que ce genre de détails tout le monde s’en fou. Pas moi. J’ai toujours été doué pour retenir les choses inutiles. Je les tasse dans un coin de mon cerveau, ça ressort de temps en temps. Heureusement pour moi, j’emmagasine aussi les informations importantes. Je les emmagasine même trop bien. Je suis un genre de surdoué, une espèce d’intello. Troubles obsessionnels compulsifs, c’est l’expression scientifique. TOC en abrégé, comme toc-toc, vous voyez ? Un cerveau formé pour apprendre et qui apprend trop bien certaines choses. Un cerveau entrainé à éliminer toute menace et qui finit par faire une fixation ; il ne voit plus que cette menace n’est en fait pas réelle. Je connaissais bien mon problème, je m’étais documenté dessus, je savais que c’était une maladie, je connaissais l’ennemi, je savais qu’il y avait plusieurs méthodes pour aller mieux. Le truc c’est que si je voulais me faire soigner, je devais avouer. Et jusqu’à maintenant, jusqu’à mes 21 ans bien passés, jamais personne n’avait su, pas même mes parents. Jamais personne ne m’avait découvert, ne m’avait vu en train de m’humilier en me lavant les mains et le visage jusqu’à ce que la peau s’arrache, jusqu’à ce que le sang coule et que le savon me pique, jusqu’à ce que je termine enfin cet affreux rituel. Je devais me laver les mains neuf fois, le visage cinq. Et normalement si je ne touchais pas la poignée de la porte recouverte des germes et des bactéries qui y proliféraient (voilà pourquoi dans mon appartement il n’y que des portes coulissantes mis à part celle de l’entrée, comme ça je les ouvre avec les pieds.), je pouvais sortir. Reprendre une vie normale. Du moins, un peu prêt normale. Le TOC avait envahi ma vie depuis que j’ai dix ans, comprenez-vous. Je pense que jamais personne ne pourra jamais trouver un appartement aussi propre et bien rangé que le mien. Chaque objet a sa place, je ne peux pas les bouger. Ça aussi, c’est un TOC, et je ne peux pas lutter contre. C’est impossible.

Je suis né en Arizona. Comme ça vous comprenez d’où vient mon nom de famille à consonance plutôt anglophone. Simplement pour combler vos évidentes lacunes, sachez qu’en Arizona, on trouve des anglais, des espagnols, des allemands, des serbes, des croates, des italiens, des vietnamiens et autres asiatiques. Les espagnols représentent environ 19% de la population. Alors bien sûr si je vous dis que je viens de l’Arizona ça n’étonne personne, mais j’aurais tout aussi bien put m’appeler Fabio Acerbi ou autre chose encore. Une nouvelle fois je vous prouve ma fabuleuse capacité à retenir des choses dont tout le monde se fiche.
A Phoenix (1 461 575 habitants ; dans le comté de Maricopa) il fait soleil onze mois dans l’année, et le douzième, il pleut. Nous avons des étés bien chauds et des hivers très doux, un Grand Canyon et bien sûr, le Colorado. J’aime l’Amérique, j’aime l’Arizona, j’aime ma ville natale, j’aime ma famille. Quand j’étais petit j’avais un chien, un golden retriever qui s’appelait Fox. Quand il est mort, j’ai eu une petite sœur que mes parents ont nommé Jaimie. (Jaimie a 14 ans cette année, elle prend des cours de danse et n’a pas besoin de se laver neuf fois les mains à chaque fois qu’elle touche la barre.)
A Phoenix, j’habitais dans une petite maison de banlieue, dans un quartier paisible avec des parcs pour enfants à chaque coin de rue et une garderie surpeuplée. Je peux affirmer sans mentir que j’ai eu une enfance normale, l’enfance de n’importe quel américain né dans une famille athée au revenu mensuel moyen. J’avais des cadeaux pour noël et pour mon anniversaire, des bonbons pour Halloween, on mangeait à macdo de temps en temps, maman cuisinait des petits plats, papa travaillait cinq jours sur sept et repeignait la maison parfois, le weekend. On avait nos petits tracas habituels : des insectes qui mangeaient les arbres et les empêchaient de faire des fruits, la voiture qui n’était pas assez bien protégée des crottes d’oiseaux, les chiens des voisins qui aboyaient trop. Une vie somme toute bien banale. J’aurais facilement pu continuer sur ma lancée, entreprendre de grandes études pour devenir médecin, comme en rêvaient mes parents. Au moins avec moi, personne n’aurait eu de problème d’infection bactériologique, hin ? Oui mais non. Je ne suis et ne deviendrai jamais médecin. Il y avait un problème dans l’équation, un grain de sable dans l’engrenage de ma vie. Un peu comme si, à ma naissance Dieu avait dit : toi, j’ai décidé que tu allais en chier. Et merde, qu’ai-je donc fait pour m’attirer les foudres du tout puissant ?!? Je ne crois pas en lui, c’est peut-être ça. Moi, je crois en la science, je crois au triomphe de la raison : si on a le savoir, la foi est inutile car tout à une explication. Le monde est un immense logiciel qui suit toujours la même logique de cause à effet. Avec des lois bien définies qu’il est impossible d’ignorer, et si on les connaît, alors on contrôle tout. Si je lâche une pomme elle tombe au sol suivant une vitesse soigneusement calculée, elle ne s’amuse pas à aller voler au dessus de ma tête. Pourquoi ai-je autant besoin de tout méticuleusement démonter pour en comprendre le mécanisme ? Peut-être parce que je suis la preuve vivante que la science ne peut pas tout expliquer, justement. Se laver les mains neuf fois, c’est irrationnel. Alors il faut que je comprenne, il faut que je sache. Je démonte les gens et je démonte le monde, je les mets en morceau pour mieux les cerner et les contrôler. C’est ainsi. Tout est sous control Drayan, tu n’as pas à t’inquiéter, tu peux sortir de la salle de bain sans avoir à te bousiller les doigts.

Bref, tout ça pour dire que dans toute cette machinerie infernale se cachait un élément vacillant. Mon père.
Mon père qui ne l’était pas.
J’avais toujours ressemblé à ma mère. Yeux bleus, front haut, cheveux bruns foncés et teint de porcelaine. Même mes lèvres étaient pareilles aux siennes.
Quand j’ai eu seize ans ma mère m’avoua qu’elle ne m’avait pas conçu avec le même homme que celui avec lequel elle avait conçu Jaimie. Elle avait rencontré mon vrai père en Croatie lors d’un voyage et avait mal calculé la portée de son geste, mais en voyant qu’elle était tombée enceinte elle avait décidé de me garder. Et en rentrant aux Etats Unis, elle avait rencontré Marvel Sherman, qu’elle avait épousé. Quatre mois après le mariage je naissais. Rien de dramatique, personne n’a trompé qui que ce soit. J’appelais simplement « papa » un homme qui n’était en rien mon « papa » et Jaimie passait subitement du statut de sœur à demi-sœur.
Mais à partir de cet instant, j’ai senti l’irrésistible appel du sang. Retrouver mon vrai père est devenu l’objectif de ma vie. Ok ; y’à peut-être des buts bien plus nobles que celui-ci, bien plus réalistes aussi. Comment retrouver quelqu’un dont on ne sait rien, sinon qu’il a eut une liaison plus que douteuse avec une dénommée Jessica Sherman, Parish de son nom de jeune fille, quand cette dernière avait environ vingt ans, dans un pays qui compte plus de 4 300 000 habitants ? Im-po-ssible. C’est infaisable, c’est totalement fou. Oui je suis taré et complètement con de croire que j’en suis capable mais que voulez-vous, c’est la vie.
Et quand j’ai décidé de partir finir mes études de langue en Croatie, personne ne m’a retenu par la manche en me disant : « hey, tu sais que t’as pas besoin de faire ça, tu es bien ici alors reste ! »
Pour ma part, je préférais partir. Plus j’étais loin et moins il y avait de chance pour qu’ils ne découvrent que l’as des neurones qu’ils m’imaginaient être avait en réalité les neurones aussi atteint que n’importe quel malade mental. Quand j’étais dans la rue, je pouvais passer pour n’importe quel individu normalement constitué. Mais pas à la maison. C’était le centre de ma maladie, je n’arrivais jamais à me contrôler pleinement quand j’étais chez moi, allez savoir pourquoi. Partir était donc une bonne solution. En réalité peut-être que chercher mon vrai père n’était qu’une excuse pour m’enfuir, j’avais sauté sur l’occasion. Je ne suis pourtant pas du genre à être un lâche.



“ Ladies and Gentlemen we soon arrive to Zagreb, please verify that your belts are attached well, in the slightest problem contact our hostesses. The temperature on the ground is 23 degrees, the sky is cloudy.

Dame i gospodo cemo uskoro vezani za Zagreb, molim provjerite da sigurnosni pojasevi sigurno pricvresceni na najmanji problema obratite se nasem hostese. U prisemlju temperatura je 23 stupnjeva, oblacno.”
J’ouvris les yeux pour voir en face de moi un homme qui dormait en ronflant, assoupi dans son siège. Avec un soupir je me tournais un instant pour remettre bien à sa place l’oreiller dans mon dos. Bien au milieu de l’appui-tête. L’avion amorça sa descente, je sentis mes oreilles se boucher et j’inspirais une grande bouffée d’air avant de déglutir. J’avais l’impression que mon corps était prêt à s’échapper au plafond s’il me venait à l’idée de déboucler ma ceinture. Au fond de l’habitacle un bébé se mit à pleurer. Je n’aimais pas voyager, je n’aimais pas l’idée de monter dans un avion. Je savais que ce dernier pouvait tomber au sol à une vitesse ahurissante au moindre problème. Il y a moins d’accidents d’avion que d’accidents de voiture mais on en parle plus parce qu’au lieu de tuer quatre personnes, l’accident d’avion en tue cent d’un coup.

J’avais acheté un appartement à Zagreb quelques mois plus tôt. Il m’avait fallu du temps pour l’aménager à ma convenance, j’y avais passé toutes mes vacances d’été. J’étais ensuite revenu chez moi, et à présent que la rentrée s’annonçait, j’y retournais. Un an. Peut-être plus. Je n’avais pas prévu de rentrer pour les vacances, je ne pensais pas en avoir le temps si je me mettais sérieusement à chercher mon père.

L’avion fut secoué et mes tripes se retournèrent puis les roues se posèrent au sol, nous secouant encore quelques instants avant de ralentir… Je serrais les poignées de mon sac à dos. Ma valise était dans la soute. J’espérais qu’elle n’avait pas été perdue en chemin. C’était déjà arrivé à quelqu’un que je connaissais.

Une dizaine de minutes plus tard, les passagers sortirent de l’avion, une bouffée d’air chaud vint m’ébouriffer les cheveux.

Welcome to Zagreb, Drayan Sherman.




“ marion/anemoon „
tout d'abord je tiens a dire que je n'ai pas encore put mettre d'avatar car je suis sur un pc portable très vieux qui n'est pas ami avec bazzart XD et j'étais tellement pressée de m'inscrire que voila. Mon pseudo est anemoon, j'ai 17 ans bientôt 18 x) je vais commencer des études en fac de lettres modernes le 5 septembre. j'ai découvert ce forum grâce à leilan :3 (L) Quand l'homme parle aux canons des fusils je parle aux ronds noirs des pupilles. drayan. 3533921347 je suis tooootaaaalement faaaaaaaaaaaaaaan !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! je vous aime, je donne +1000 à l'idée ! Quand l'homme parle aux canons des fusils je parle aux ronds noirs des pupilles. drayan. 410353720

[justify]


Dernière édition par Drayan Sherman le Mar 16 Aoû - 9:19, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: Quand l'homme parle aux canons des fusils je parle aux ronds noirs des pupilles. drayan.   Quand l'homme parle aux canons des fusils je parle aux ronds noirs des pupilles. drayan. EmptyLun 15 Aoû - 23:21


Bienvenue ma chérie Quand l'homme parle aux canons des fusils je parle aux ronds noirs des pupilles. drayan. 2124793060
Bon courage pour la finalisation de ta fiche :3
Amuse-toi bien sur le fo' Quand l'homme parle aux canons des fusils je parle aux ronds noirs des pupilles. drayan. 3533921347
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MessageSujet: Re: Quand l'homme parle aux canons des fusils je parle aux ronds noirs des pupilles. drayan.   Quand l'homme parle aux canons des fusils je parle aux ronds noirs des pupilles. drayan. EmptyLun 15 Aoû - 23:22

Bienvenuuuuue !!! Quand l'homme parle aux canons des fusils je parle aux ronds noirs des pupilles. drayan. 4211556439
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MessageSujet: Re: Quand l'homme parle aux canons des fusils je parle aux ronds noirs des pupilles. drayan.   Quand l'homme parle aux canons des fusils je parle aux ronds noirs des pupilles. drayan. EmptyLun 15 Aoû - 23:26

NYAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA

Te voilà enfin YOUHOUUUUUUUUUU :gilette:

Et fait attention à ce pervers d'Eden...
Il est à moi Arrow :mdr!:
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MessageSujet: Re: Quand l'homme parle aux canons des fusils je parle aux ronds noirs des pupilles. drayan.   Quand l'homme parle aux canons des fusils je parle aux ronds noirs des pupilles. drayan. EmptyLun 15 Aoû - 23:28

Leï : (L) merci chérie xD j'y vais à 2 a l'heure avec cet ordinateur xD Quand l'homme parle aux canons des fusils je parle aux ronds noirs des pupilles. drayan. 3967998059 omfg ta signature Quand l'homme parle aux canons des fusils je parle aux ronds noirs des pupilles. drayan. 2124793060 *bave*
eden : merciiii Quand l'homme parle aux canons des fusils je parle aux ronds noirs des pupilles. drayan. 1537155887
micah: ouiiiiiiiiiiiiiiiiii (L) j'ai changé de nom au passage d'ailleurs XD Quand l'homme parle aux canons des fusils je parle aux ronds noirs des pupilles. drayan. 410353720 Quand l'homme parle aux canons des fusils je parle aux ronds noirs des pupilles. drayan. 410353720 eugen aaagaaaa
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MessageSujet: Re: Quand l'homme parle aux canons des fusils je parle aux ronds noirs des pupilles. drayan.   Quand l'homme parle aux canons des fusils je parle aux ronds noirs des pupilles. drayan. EmptyLun 15 Aoû - 23:37

Bienvenue à toi =)
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MessageSujet: Re: Quand l'homme parle aux canons des fusils je parle aux ronds noirs des pupilles. drayan.   Quand l'homme parle aux canons des fusils je parle aux ronds noirs des pupilles. drayan. EmptyLun 15 Aoû - 23:39

tom sturridge, gooooooood idea. Quand l'homme parle aux canons des fusils je parle aux ronds noirs des pupilles. drayan. 2124793060
Welcome en tout cas, et bonne chance pour ta fiche.
Même si tu m'as l'air bien parti là (aa)
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MessageSujet: Re: Quand l'homme parle aux canons des fusils je parle aux ronds noirs des pupilles. drayan.   Quand l'homme parle aux canons des fusils je parle aux ronds noirs des pupilles. drayan. EmptyLun 15 Aoû - 23:46

Bienvenuuuue :hiii:
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MessageSujet: Re: Quand l'homme parle aux canons des fusils je parle aux ronds noirs des pupilles. drayan.   Quand l'homme parle aux canons des fusils je parle aux ronds noirs des pupilles. drayan. EmptyMar 16 Aoû - 9:33

Bienvenue sur le forum & merci pour ton inscription =)

la fiche est terminée ?
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MessageSujet: Re: Quand l'homme parle aux canons des fusils je parle aux ronds noirs des pupilles. drayan.   Quand l'homme parle aux canons des fusils je parle aux ronds noirs des pupilles. drayan. EmptyMar 16 Aoû - 9:35

merci Quand l'homme parle aux canons des fusils je parle aux ronds noirs des pupilles. drayan. 2176505670 Quand l'homme parle aux canons des fusils je parle aux ronds noirs des pupilles. drayan. 2124793060

Zvonko S. Djordjevic a écrit:
tom sturridge, gooooooood idea. Quand l'homme parle aux canons des fusils je parle aux ronds noirs des pupilles. drayan. 2124793060
Welcome en tout cas, et bonne chance pour ta fiche.
Même si tu m'as l'air bien parti là (aa)

oui tom Quand l'homme parle aux canons des fusils je parle aux ronds noirs des pupilles. drayan. 2124793060 le mien Quand l'homme parle aux canons des fusils je parle aux ronds noirs des pupilles. drayan. 1091028995 (mais avec sean t'as pas grand chose à m'envier Quand l'homme parle aux canons des fusils je parle aux ronds noirs des pupilles. drayan. 3533921347 )
merci Quand l'homme parle aux canons des fusils je parle aux ronds noirs des pupilles. drayan. 2176505670 j'avais déja fini l'histoire depuis au moins une semaine XD
edit : oui la fiche est finie =D
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