“ Donnie Daniel Erickson „

ft. Victor Norlander

ϟ CE QUE TU PENSES DE MILA NOLA ; Du respect. Que je ne peux éprouver que ça envers elle. Elle a réussi à me faire assumer mon homosexualité et a réveillé le rêve d'un sacré paquet de gens. Je lui baiserais les pieds pour la remercier si je la rencontrerai. Non je n'abuse pas ! Bon d'accord, mais je lui sauterais au cou quand même.

→ C'est un personnage assez lunatique. Il change d'humeur comme de chemise. Ce n'est pas toujours facile de se faire des amis avec son comportement. Il est parfois capricieux et devient nerveux. Mais il sait beaucoup rire. Faire le fou-fou aussi.

→ Vous connaissez "la cages aux folles" bah c'est le contraire de ces protagonistes. Il reste très masculin. même s'il a quelque geste qui fait un peu le cliché des homos. Et puis il préfère les hommes qui font Homme plutôt que ceux qui font petite folle. Même s'il a plus tendance à être amis avec elles.

→ Il adore ! On ne peut pas le considérer comme un pervers mais il adore découvrir les gens, autant dans leurs vies de tous les jours que dans leur intimité, c'est un sacrée curieux. C'est pour ça qu'il veut être journaliste : pour pouvoir enquêter plus facilement. Il aurait pu, donc, être Psy ' mais il trouvait ce genre d'étude trop compliqué.

→ Il a posé une croix sur ses sentiments. Il faut lui tiré les cordes du nez pour pouvoir lui faire décrocher un "Je t'aime". Ça vient certainement de son père. Mais, lui il a quand même un visage assez explicite, mais le vieux drogué avait des traits sans aucune émotion, selon sa mère. Donnie déteste aussi que l'on découvre ses faiblesses et ses peurs. Lorsqu'il est fasse à ça, il préfère rester silencieux ou s'enfuir.

→ Sinon il a toujours voulu avoir un chien : un husky. pour l'accompagner lorsqu'il était triste. Mais il est allergique un poil de ces derniers. C'est aussi un faux végétarien. C'est à dire qu'il mange du poisson mais déteste la viande. Oui oui ! Il s'est inventé ça lui-même.

J'ai vraiment une vie de *bip* !

Pas facile de vivre dans une grande famille de cinq gosses. Surtout quand vous êtes placé au milieu de la portée. Et en sachant que votre mère vous avait eu alors qu’elle n’avait que 18 ans. Attendez ! Vous croyez quoi ? Tout ça c’était pour les allocs’, enfin les aides de l'état. Ma mère avait couché avec un de ses clients alors qu’elle était complètement shooté. À la limite de l’overdose, pour me concevoir. Mais je vous rassure, je n’ai aucun problème à cause de ça : miraculeusement. Mais, c’est dans ses situations que l'on se dis qu’être orphelin serait mille fois mieux. Et c’est compréhensible que je me sente à longueur de journée seul. Et un peu abandonné : livrée à moi-même. Tout de même, dès qu’elle eu son 4ème gosse, elle arrêta ses conneries et prit conscience qu’elle était en train de tous nous enterrer et même à la limite de nous faire embarqua par les assistants sociaux. Alors, elle trouva un petit boulot dans une superette. Donc, fallait se serrer les coudes en hiver pour ne pas avoir froid dans notre vieil appartement, qui tombait en ruine au fur et à mesure.

Le moyen de se débarrasser de moi c’était la danse. Pas que je ne sois vraiment détesté, mais ma mère portait un sacré jugement sur moi. Mon activité c'était en partie ce qui m’empêchait de faire des conneries par dizaines. Et oui j’étais un petit nerveux. La danse réussissait à me dépenser et à me défouler, ça me faisait du bien : de faire ses acrobaties. Ça m'offrait un sentiment inexplicable. C’était un peu la flamme qui me maintenait en vie. En passant : c’est cela qui m’avait fait dessiner le corps que j'ai aujourd’hui. Mince comme j'aime, mais pas trop, avec mes petits abdominaux qui ressorts

Niveau école. J’étais assez intelligent : dans la moyenne. J’étais encore une fois au milieu de tout. Je n'étais pas en tête des bulletins mais surtout pas leurs pied. C’est dans ses années de collège que je fis la petite rencontre de ma troupe d’amis. Comme tout le monde dirait : Ce sont ceux qui m'influençaient, qui me plaçait sur le mauvais chemin et qui me mènerait tout droit à la chute. Et c’était vrai, mais, c’était avec ce groupe de cinq jeunes que je réussissais à m'amuser le plus. Ce n’était pas toujours très sain, même si, il était le seul à tenter de garder un pied sur terre.

Ma vie n'est qu'un accident !

25 novembre 2005; le jour où un de ces rêves sombra. Sortit avec sa troupe de délinquant dans la banlieue de Zagreb. Ce lieu qu’il connaissait bien car il y était née. Leur jeu du jour était : le vol de voiture. Après une qui avait brulé à cause d’un court-circuit et une autre qui s’était retrouvé dans un mur, c’était le tour de Donnie. Au début il n’était pas trop chaud pour faire ça, pas trop chaud pour toucher au vol, pas trop chaud pour avoir peur. Mais rapidement il trouva une voiture qui avait été mal fermée. Un de ses potes l’aida à démarrer la voiture en sabotant les fils qu’ils trouvaient en dessous du volant. Une main sur le levier de vitesse et l’autre sur le volant : il démarra pour la première fois une voiture. Le bruit du moteur lui fit se sentir bien. Son camarade l’avait remarqué grâce au sourire qui c’était dessiner sur ses lèvres. Le bruit augmentait au fur et à mesure. Les tremblements de la voiture semblaient être aspiré par Donnie. Il se sentait libre. Mais d’une nouvelle façon pas comme si on l’abandonner mais comme s'il s’envolait. Il sentait que tout allait bien, il était d'une confiance aveugle.

Il emprunta le premier virage et desservit la rue à toute allure. Les roues avaient grincé, son plaisir avait augmenté. Le feu passa au rouge, il se demanda s'il devait s'arrêter mais son pote le convaincu du contraire. Les deux mains serrant le volant, il croisa le passage d’une voiture innocente. Mais le jeune insouciant continua. Il ne semblait vraiment plus pouvoir s’arrêter, entrainer par les cris de jouissance de son pote. Il n’y voyait plus aucun mal ni plus aucun souci. Puis un deuxième feu venu l’éblouir son pote. Qui lui demanda enfin de s’arrêter. Il prenait conscience d’avoir fait le con. La voiture accéléra quand même à plus de cent quatre-vingts kilomètre-heure. Le jeune s’agrippa à son siège, essaya tant bien que mal de mettre sa ceinture. Mais ce deuxième carrefour semblait faux. Rien n’était pareil. Les yeux de son ami commençaient à scintiller du mauvais côté. Donnie regardait partout autour de lui en commençant à s'agiter. Ne trouvant pas les freins. Il tira le frein à main. Un bruit strident venu accompagner le bruit de fracas des vitres, qui se brisaient et de la tôle, qui se broyait. Les phares se tuent. Le feu passa au vert. L’odeur du moteur chaud venu effleurer le nez de Donnie, qui était au sol : inconscient. Âgée à peine de 16 ans il semblait mort en ayant fait le con. Son ami était resté dans la voiture, ses autres protagonistes aussi. Il n’arrivait pas à ouvrir les yeux et n’entendait plus rien. Puis le sommeil le rattrapa sans le vouloir.

Il se réveilla deux jours plus tard. Sous les yeux de sa mère. Qui pour une fois semblait s’être inquiété pour lui, c'était la première mais aussi la dernière fois qu'elle réagirait ainsi. Il lui sourit. Mais il avait mal. Elle lui avoua après, tant bien que mal, qu’il avait une rupture des ligaments croisés, un peu plus poussés. Il savait ce que ça voulait dire. Il savait qu’il ne pourrait plus danser.

La mort ne me rattrapera donc jamais !

Aujourd'hui Donnie est bien déterminé à travailler dans le monde du journalisme, après un petit retard scolaire causé par l’accident. Il commença ses études. Mais ça n'étonnera personne si on vous apprend que sa mère, alors qu'il eut dix-huit, la foutu à la rue avec ses toutes ses affaires. Mais rapidement il trouva, avec un peu de chance, un appart' qu'il du payer. C'est pour ça qu'avec encore une légère chance il réussit à devenir serveur au Burger King. Ce n'était pas vraiment au top mais ça l'aidait suffisamment à se nourrir et réussir à continuer à payer ses études. Même si les fins de mois étaient dures, mais ça ! Il en avait l'habitude.

Toujours au fond de lui il avait senti un peu différent de ses frères. Il savait pour son homosexualité depuis longtemps. Mais à ce jour il n'avait jamais avoué ce secret dans une famille qui semblait homophobe. Donc grâce à Mila Nola. Il prit le courage d'envoyer une lettre à sa mère... Sans réponse. À ce qu'il parait il se serait tous barrés après une rafle des services sociaux. Mais de toute façon il ne le saura jamais. Et pour lui cette lettre signait ça libération. Sans aucune certitude c'était comme ça il ait tout avoué, plus besoin de se cacher pour être avec ses "petit ami". Maintenant, pour lui, ce ne sera plus jamais un secret.

Je m'appelle Kevin, j'ai 17 ans. Né un 11 juillet de l'an 1994 (cancer) en Lorraine ( Vôsges ) XD. Sinon, je suis un boulet de première classe et comme dirait babylon : je suis le "roi des noobs". Mais je vous rassure y'a pire que moi ( enfin apparemment non ! ). Ah oui aussi. tout comme mon perso' je suis un peu lunatique XD mais surtout bizarre . Et enfin sur le weEeb je suis connu sous le pseudo récent de : .Reed . C'est mieux que mon ancien. et je kiff ce smiley : :pika: