“ Sander Jaime Marshall „

ft. Mat Gordon

ϟ CE QUE TU PENSES DE MILA NOLA ; Qui? Ah cette journaliste lesbienne, et bien elle est super canon, non mais, c'est vrai dommage qu'elle est une broute minou, non elle a du cran cette nana, avouer comme ça qu'elle est homosexuelle, peu de monde l'aurait fait... Même si ça change rien à ma vie, je suis quand même heureux qu'une personne assume autant son statut, il en faut des gens comme ça dans le monde et puis je sais que ca rendu du courage a quelques personnes...

→ Il est polyglotte, c'est-à-dire qu'il parle plusieurs langues et a aussi une faciliter les apprendre, cette tête brune sait parler , anglais, espagnole , croate , français et russe. Ce qui lui permet d'être très débrouillard oui, une chose est sur c'est qu'il est doué pour s'adapter à n'importe quelle situation, pire qu'un chat il retombe toujours sur ses pattes, mettez le dans un désert avec une gourde d'eau, sa ventoline et un morceau de pain il survivra -ce n'est qu'imager-

→ A noter, ne jamais l'appeler par son prénom ou le siffler pour l'appeler il n'est pas un chien, il vaut mieux tout simplement l'appeler Jaime et sans doute par des surnoms tant qu'ils ne le décrédibilisent pas... C'est comme le forcer à porter un Tutu, il ne le fera jamais sauf si c'est un pari, car cet homme là est grand joueur et tête brûlée, il a le malheur de toujours jouer avec le feu, ce qui lui à couter bizarrement ce tatouage sur sa fesse droite, où il y avait marqué en néozélandais propriété privé...

→ Il a vécu très longtemps dans un petit village perdu en Nouvelle-Zélande, c'est depuis peu qu'il sait se servir d'un Iphone et d'un Mac, avant il n'en avait vu seulement dans les films... Oui cela fait seulement trois ans qu'il est sur le territoire Croate...Qu'importe cela ne s'aperçoit pas.... Par contre, le fait qu'il ne sait pas cuisiner se voit à trois mille, demander lu ide vous préparer un cocktail il le fera sans problème, demandez lui de faire des pattes il risque de mettre le feu à la maison... Voilà pourquoi il mange mal ou parfois au restaurant quand il est "demandé"

→ Il fait partie des hommes qui couchent avec tous ce qui lui passe sous la main -hormis petites filles, vielles femmes défraichies ou quelconques animaux- oui il est libertin, disons qu'il tombe amoureux chaque nuits, chaque heures, chaque minute, il peut être le prince charmant de n'importe qui le demande pendant quelques heures, c'est pourquoi quand il est rentré dans le pays, il est devenu Escort boy, cela lui colle tellement la peau et voilà que désormais ses clients sont souvent des personnes au porte monnaie bien pleins...

→ C'est hallucinant comme il récupère en si peu d'heure, il n'a pas besoin de beaucoup dormir mais cependant il s'endort n'importe où, et quand il a besoin de dormir il tombe comme une masse... Ses parents on longtemps cru qu'il était narcoleptique mais il s'est avéré que c'était faux et parfois il faisait semblant de dormir, car oui c'est un très beau comédien et aussi un beau-parleur.... Il sait aussi bien parler que danser, oui disons qu'il a eu de bon enseignant(e)s tout comme pour les parties de jambes en l’air... Il a eu une très bonne éducation sur ses deux domaines... Malgré qu'il soit atteint d'asthme le bel homme s'en sort toujours.

Tralalala ce petit bijou est en court, vous verrez ma folie pour plus tard les loulous

“ Once upon a time... „

Mai 1995
« Les enfants. » il ouvre la porte, Jaime se redresse tandis que Hilda dormait à point fermé, il pose son regard sur son père qui était au téléphone, il lui sourit en posant son index sur ses lèvres, il ne fallait pas réveiller Hilda. « Elle dort, je la réveille ? » dit son père à son interlocuteur. « très bien, non ça ne me dérange pas. » il raccroche, sourit à son fils. « Bonne nuit » la porte se ferme, les pas s'éloignent, Jaime pose son regard sur Hilda qui se réveil et lui jette un oreiller à la figure en rigolant, il lui jette à son tour, heureux que leurs plans a marché ,il faut croire que les deux enfants s'apprécient beaucoup à l'époque. Ils se calment s'allonge, Jaime ferme les yeux. « Tu deviendras mon mari? » il sourit fait face à Hilda. « Oui » heureuse elle front le sourcils et lui tend son auriculaire. « Promis ? » il sourit et en fait le serment en prenant son auriculaire avec le sien. «Je te le promets » elle s'endort sur ses belles paroles et lui aussi, elle rêve d'un beau mariage et lui rêve d'avoir beaucoup d'argent pour l'offrir à sa mère, avoir une vie autre que dans une grande ville, non il ne rêvait pas de mariage, il n'en a jamais fait le rêve.

Octobre 1995

« Sander » prononce une petit voix, une pression ce fait au niveau de son bras qui le secoue « Sander » il gémit légèrement ne voulant pas ouvrir les yeux, seulement la pression continue, la voix lointaine n'est plus, il retrouve peu à peu ses esprits, en ouvrant à moitié un oeil, voyant son interlocutrice il fit la moue. « Je t'ai déjà dis de ne pas m'appeler comme ça » dit il en engouffrant son visage dans ses bras. « Jaime! » elle le pousse plus fort, il ouvre les yeux, regarde son amie et baille. « Je faisais un si beau rêve » dit il avec ce petit air blasé, il se redressa en s'étirant de tout son long. « Sander, je dois te dire un truc!! . » il fait la moue, lance un regard froid à son amie. « Jaime pardon.. » il lui sourit plantant son regard dans celui de son interlocutrice, un regard quand il sera plus grand déstabilisera souvent son entourage. « Tu voulais me dire quoi? » son petit ton rieur, cette lueur roublarde qu'il a dans les yeux, il attend simplement que son amie lui parle. « C'est au sujet de ta maman!! » il penche la tête sur le côté et attend qu'elle développe. « Elle veut te voir pour discuter. » il soupire et pause sa tête sur la table, un peu violemment car, un "poc" se fait entendre. « C'est que pour cela que tu m'as réveillé ? » se plaint il en fronçant les sourcils, elle pausa sa main sur sa tête et lui tire une touffe de cheveux. « C'est urgent, ça fait des heures qu'elle te cherche » il se redresse, sourcils froncées, il regarde où il est dans cette vielle maison abandonnée depuis que la propriétaire est morte... « Elle sait où me trouver pourtant » la fillette penche la tête sur le côté « C'est que tu as tellement de cachette que c'est difficile de te trouver. » elle lui prend la main et le tire vers elle pour qu'il se lève, Jaime se laisse entraîner par cette pression. « Ne cours pas. » ce fut trop tard les voilà en train de gambader à travers les fourrés, cette course semble interminable mais, ils finissent par se retrouver face à la maisonnée du brun. Essoufflé, il regarde la fillette qui le pousse. « Allé vas y » il veut qu'elle l'accompagne mais, elle hausse les épaules, l'enfant baisse la poignée appréhendant ce qu'il se trouve de l'autre côté. « Sander » à peine aperçu, sa mère se jette à son coup, les yeux gonflés, les traits tirés, il ne sait pas ce qu'elle valui dire. « Je me suis fait du soucis pour toi!! Tu vas être encore difficile à coucher. » elle lui tripote les cheveux, il la regarde intrigué « Tu es si maigre mon lapin. » dit elle en l'observant, elle se rend compte que leur pauvreté à des conséquences sur leurs fils. « Tu vas vivre quelques jours chez Madame Figel... » elle lui sourit, retenant ses larmes, elle lui prend la main et le fait s'asseoir sur ses genoux lorsqu'elle s'installe sur le petit sofa. « Papa et moi allons travailler pendant quelques temps à la Capitale nous avons besoin d'argent, dis toi que c'est comme des vacances, sans nous. » elle le serre contre lui, il comprend ce qui lui arrive. « Hé maman je peux aider j'ai des sous. » il saute des genoux de sa mère, court dans sa chambre, se met à plat ventre prend sa petite boite et en quelques secondes il se retrouve devant sa mère essoufflés, il lui tend la petite boite. « Tiens. » elle a le regard si triste, d'une main tremblante elle prend la boite « Garde-les. » elle se lève et serre son fils contre sa poitrine, sa mère à toujours eu les bras potelés, quelques bourrelets, elle aurait aimé que son fils soit pareil et pas aussi fétiche.

Janvier 2005

Une douleur lui meurtri la joue, un picotement très désagréable se répandit sur toute sa joue droite, pensant plus à la douleur que cette gifle donnée par la petite bonne femme, que la douleur qu'elle peut ressentir.
Pendant un court moment, il avait eu de la peine pour Hilda qui croyait être l'élu, elle y avait tellement cru dû à a cette promesse. »Tu m'en avais fait la promesse. » dit elle sous le regard froid de Jaime, il enfonce les mains dans ses poches, pensant plus à rentrer chez lui car, le froid lui congèle le bout des doigts, il soupire. « Hilda on était gamin. » la fragilité de son aimante le rendit un petit instant nostalgique « Je t'ai donné tout, je me suis donnée à toi... » Il ne l'aimait plus, cette passion qu'il a eu quand il était gamin s'est effacé, elle l'agace, il lui coupe alors la parole.« Je ne t'ai rien demander! » un ton sec, la jeune fille en pleure, elle se retient de lui administrer une nouvelle gifle. « Espèce de salaud, comment tu peux dire ça, je voulais faire ma vie avec toi, avoir des enfants.. je te hais, vas crever. » elle se mettait à l'insulter, restant impassible, c'était la meilleure solution dans ce genre de situation, sinon cela risquerait de partir très loin, une chance pour elle qu'il n'était pas un homme violent, elle le savait et profitait à l'insulté à tout bout de champs, elle savait pertinemment qu'il s'en foutrait et où plaisanterais à ce sujet, il aime faire la sourde oreille et l'insouciant ou bien plus rire sans se soucier de rien. « Hilda, c'est toi qui t'es imaginé ce futur idyllique, il n'est pas pour moi. » il essaye d'un être minimum sympathique. « Connard. » vociféra la belle en tournant les talons, d'habitude il l'aurait retenu mais, là il la laissait s'en aller, faire son grand numéro en claquant la porte mais, le temps des excuses étaient terminées, plus il y réfléchissait et ce disait que les relations à deux n'aboutissent à rien, seulement créer une souffrance mutuelle, pour le coup, là elle était individuelle, bizarrement il ne ressentait ni tristesse et ni antipathie, il était enfin compte heureux de l'avoir trompé avec cette brunette bien plus âgé que lui, qui lui a correctement demandé d'être son élève.



Décembre 2006

Le froid lui glace les extrémités, son visage est enfouie dans l'écharpe enroulé autour de son coup, quelques mèches rebelles brunes s'échappent de la capuche de son sweet, posé sur le sommet de son crâne. Apportant ses doigts à sa bouche pour souffler dessus et les réchauffer un minimum, il frotte ses deux mains entre elles et les engouffrent dans ses poches. Il déteste l'hiver pour quelques raisons compréhensibles, frileux il se plaint donc de n'avoir jamais chaud, cela est un élément défavorable pour son asthme, ses crises sont donc alors plus fréquente... Il déteste tout ce blanc, tout ce froid, tout ce gèle...
Il se dit surtout qu'il n'aurait jamais dû sortir de ce bus, le dernier de la journée pour être le plus près possible de chez lui, pour céder sa place à cette vielle dame, elle lui a fait tellement de peine à chercher une place, alors qu'il y en avait plus. C'est ainsi que Jaime c'est levé et s'est dit qu'elle avait bien plus besoin de cette place que lui, il est jeune et vigoureux contrairement à elle... Tout le monde sait que malgré sa prétention et son arrogance, il est quelqu'un de relativement de bienveillant, il s'est alors levé et lui a cédé la place avec un sourire. « Allez y » elle l'a regardé avec des gros yeux « Et vous? » il a haussé les épaules. « Ne vous en faite pas pour moi » elle s'est alors assise et la remercier en lui offrent un bonbon à la menthe il lui à offrit un de ses plus beaux sourire et est descendu.
Le voilà gelé, il regarde le bus s'éloigner, détourne les yeux sur le ciel, il ne va pas tarder à neiger, il croque dans son bonbon à la menthe et s'allume une cigarette et s'élance dans une longue marche puis d'un coup il fit demi-tour, oui une de ses clientes désiraient encore le voir pour quelques heures de plus, elle qui a tellement mal de le lâcher...
Dans le petit hameau tout le monde sait ce qu'il est, il est alors facile de le trouver et c'est dans ce genre de petit village qu'il y a beaucoup de personnes désespérer.


Juillet 2007

« La Croatie qu'est-ce que tu vas foutre là-bas? » sa surprise fait son sourire Jaime, qui prend le menton de son interlocuteur: Brent et l'embrasse, l'autre le repousse. « J'exige des explications. » le brun ricane, s'en prêter attention à la réticence de son client , il le repousse encore. « Tu n'es pas mon amant pour en avoir. » dit-il avec ce sourire provocateur, il approche ses lèvres des siennes, blessé Brent le pousse violemment. « Et tu crois qu'après ce que tu viens me dire je vais me laisser faire? Tu pues la femme en plus, tu as eu une autre cliente avant moi ? » Jaime toujours aussi sur de lui, s'approche de lui, il sait qu'il ne peut pas le repousser longtemps,et puis il devra bien si faire s'il sent une autre odeur, qu'elle soit féminine ou masculine, il a d'autre client. « J'en suis même certain. » lui susurre tire à l'oreille pendant que sa main descend vers la boucle de sa ceinture qui ne lui barre pas longtemps le chemin. « Jaime! »il prend sa main le stoppe, le brun relève les yeux vers lui. « Quoi? » il lui lance ce regard dévastateur, il le fait tomber de mille étage, et toutes réticences se dissipent, sa main se desserre. « Tu vois, j'avais raison. » ce que Brent peut le haïr quand il fait ça, pourquoi trouve t'il toujours le dernier mot, qu'il le fait céder, il dépense son argent pour un type si agaçant et sans aucun frique, il a juste sa gueule qui rattrape tout. «T'es chiant!» lâche t'il pendant leurs ébats, Jaime ricane « Je sais je sais. » dit il en lui offrant un baiser enflammé...
Tous les deux allongés, Jaime se lève lançant un regard amusé à Brent qui a un regard si enflammé. « Tu n'es pas censé tomber amoureux de la marchandise. » dit il en s'allumant une cigarette, il se lève, Brent se déteste de l'admiré tant. « Tu sais j'ai des voisins. » dit il en voyant que Jaime s'approche de la fenêtre, il sourit et hausse les épaules. « Laisse-les admirer. » Jaime ricane en fermant les rideaux de la petite pièce. « Tu sais que je n'aime pas que tu fumes chez moi » Jaime arque un sourcil, éteins sa cigarette dans le cendrier. « Et pourquoi tu as acheté ça ?» Brent soupire, il le hait, le brun pause son regard sur son lit avec un petit sourire. « Je t'emprunte ta douche. » son client se redresse, le regarde « Fais comme chez toi » lui dit il, le brun sourit. « Je peux avoir un bon boulot , une occasion de changer de vie depuis le temps que je voulais me casser d'ici. » il a enfin donner sa réponse , il sait que cela va lui faire plaisir, il le voit sourire, il lui rend « Ah hé oui une heure avant toi, une cliente, son mari l'a trompé il fallait bien quelqu'un pour la consoler. » Jaime finit toujours pas répondre, il ricane et lui tourne le dos et allume l'eau, il entend la porte s'ouvrir sourit « Ca va te couter plus cher tu sais? » Brent attrape son visage et vint capturer ses lèvres d'un baiser enflammé; « Tu en vaux tellement plus!! »

Mars 2010

Posté devant la porte d'entrée de ce grand hôtel, voilà quelques années qu'il y a un travaille officiellement en tant que groom mais, parfois il en est autrement, dans cette ville ce qu'il fait à un nom Escorte Boy, cela l'a bien fait rire au fond qu'une telle activité est un nom, cela en devient un métier secondaire et c'est fou comme les gens sont plus généreux dans ce pays du moins dans cette partie de la ville, car certain son bien radin... Sa clientèle est essentiellement de la bourgeoise parfois celui des moins riches aussi... « Bonjour » sourire dévastateur, il prend les clefs de la voiture, dévore du regard sa propriétaire qui fait de même. « Ne me la casser pas » dit elle, il acquisse du regard, et s'installe dans le véhicule pour aller le garer,il aime bien ce métier, il mène de si belle voiture, tellement que parfois il aimerait s'enfuir avec et ne plus jamais revenir, cela ferait de lui un voleur... Cette hypothèse lui plait bien, lui qui à rêver d'être un grand fugitif, un voleur imprenable mais, dans toutes les histoires les méchants perdent toujours, c'est ennuyeux alors, pourquoi pas un jour il enfilera le rôle de robin des bois...